Semaine de la presse au CDI Lycée

 

Du 24 au 29 Mars avait lieu la Semaine de la Presse et des médias. Au CDI-Lycée, elle dure un mois entier. Toutes les classes de Seconde sont reçues au CDI-Lycée pour un Atelier.

Il faut préparer nos élèves, futurs étudiants, à lire la Presse avec un esprit ouvert, éclairé, curieux. Car il y a un véritable plaisir – sans oublier la gravité des actualités et le recul critique qu’elles requièrent – à consulter tous ces journaux, tous ces magazines si variés. Plaisir d’assimiler rapidement une information grâce à une infographie. Plaisir de trouver, dans un article, un éclairage, une découverte, une idée qui, croisée avec d’autres, permet, peu à peu, de bâtir une réflexion. Le numérique, c’est bien. Le papier aussi ! Les élèves apprécient cette hybridation d’accès à l’information.

 

Pour ce mois de la Presse, les élèves étaient en activité avec :

 

 

– 2 expositions sur la Presse à travers les siècles ;

– 2 articles :

*Une interview de Raphaël Enthoven sur l’Intelligence artificielle, suite à la parution de son livre aux éditions de l’Observatoire : L’Esprit artificiel, livre disponible au CDI-Lycée.

*Un excellent reportage sur la vie – la survie – des SDF; dont la maquette et les textes concis ont su sensibiliser les élèves au sort des plus démunis. Les élèves comprennent bien le travail éthique des reporters.

Espérant que ces deux thématiques nous recentrent sur ce qui fait de nous des humains.

– Un florilège de journaux et de magazines (dans une vision pluraliste) que j’ai commandé auprès du CLEMI (Centre pour l’Education aux Médias et à l’Information) acheminé par la Poste, partenaire dont il faut saluer tout l’engagement au service de l’information.

 

Le Mois de la Presse en chiffres :

 

18 journaux et magazines différents lus par les élèves;

234 questionnaires complétés avec de nombreuses idées ;

Ces activités ont permis aux élèves de redécouvrir la presse papier (la matérialité vivifie la pensée), de comprendre la transmission de l’information à travers le temps ; de formuler des problématiques ; et de souligner cette articulation, si précieuse, entre liberté d’expression et respect de chacun.

 

Vincent Boumard

Professeur-documentaliste