Quand je pense à Marie, je ne peux m’empêcher de la voir comme une maman.
Elle est la première à croire en la vie même si souvent, elle est dépassée par les évènements. Elle est aussi, la première à essayer de trouver des solutions pour nous aider à sortir de l’impasse et quoi qu’il arrive, elle est toujours là pour nous.
Nous ne l’avons pas choisie mais elle nous a accueilli dans son corps et avec toute sa force et son amour. Elle a dépassé ses peurs et, d’une certaine façon, s’est oubliée elle-même pour penser davantage à nous.
Je n’oublierai jamais sa présence fidèle à mes côtes !
C’est pourquoi en ce mois de mai où l’Église dédie une pensée particulière à Marie, je pense aussi à toute les femmes.
« Bienheureuse celle qui a cru ».
Joyeux mois de mai et heureuse fête des mères.
Sara,
la Pastorale